« La Castiglione, chute d’une Comtesse » débarque à Blois

La Ville de Blois, en partenariat étroit avec le consulat général d’Italie à Paris et l’association Les ateliers de Cribeau, offre à ses citoyens et à ses visiteurs une expérience théâtrale unique en son genre. À marquer dans vos agendas : le vendredi 15 septembre à 19h, la salle Gaston-d’Orléans du Château royal s’imprégnera de la vie et des émotions de la comtesse de Castiglione, dans une pièce solo chorégraphique intitulée « La Castiglione, chute d’une Comtesse ».

Un spectacle gratuit mais sous réservation

L’entrée à ce spectacle est gratuite, cependant la réservation est obligatoire. Les mélomanes et amateurs d’arts peuvent réserver leurs places en adressant un courriel ici : resa.LaCastiglione@blois.fr

Plongée dans le Paris du 19e siècle

Mêlant la danse, la musique, la lumière et la voix off, cette pièce magistralement interprétée par la danseuse Katia Medici, nous transporte dans l’histoire passionnante et tragique de Virginia de Castiglione. Protagoniste incontournable de la diplomatie et des chroniques mondaines du Second Empire, cette comtesse obsédée par sa beauté, fut également une pionnière en matière de photographie.

Dans un univers dominé par la couleur grise, évoquant l’âme tourmentée de la comtesse, le public sera invité à explorer les tréfonds de son narcissisme et de sa chute programmée. L’interprétation de Katia Medici est un tableau vivant, un miroir de la psyché de cette artiste du 19e siècle, tout en nuances et en intensité.

Une équipe artistique talentueuse

Derrière cette pièce se trouve une équipe de professionnels dévoués et talentueux. La chorégraphie est signée Katia Medici, qui assure également l’interprétation. La lumière et l’intervention scénique sont orchestrées par Christophe Schaeffer, tandis que la musique est l’œuvre de Laurent Petitgand. La scénographie et les costumes portent la griffe de Montserrat Casanova, avec des images capturées par Laurent Larivière. Quant au texte, il est l’œuvre conjointe de Laure Fardoulis et Nathalie Léger, avec une technique vidéo/son assurée par Gaïa Rase-Casanova.