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« Vite, au théâtre ! » 2025 : un festival foisonnant et… essentiel

Du 11 au 15 février 2025, le festival « Vite, au théâtre ! » revient à Blois avec une édition particulièrement attendue. Depuis plusieurs années, installé dans les vacances scolaires de février, cet événement s’est imposé, porté par un collectif de compagnies locales réunies autour d’une association (depuis 2024) et d’une même ambition : offrir un théâtre accessible et de grande qualité.

Cette année pourtant, l’équilibre a été plus difficile à tenir. « Nous avons connu, comme tant d’autres en France, des restrictions budgétaires. Nous avons dû faire des choix, réduire certains aspects, mais en conservant l’essentiel : une programmation dense, une diversité de formes et une ouverture à tous les publics », explique Agnès Verlinde, présidente de l’association. Le festival accueillera neuf spectacles portés par sept compagnies, avec un mélange de quatre compagnies fondatrices et trois nouvelles venues, invitées pour cette édition. « On espère que ces nouvelles compagnies pourront, si leur présence se poursuit et si tout le monde y trouve son compte, intégrer pleinement le collectif. Mais pour cette année, elles sont invitées, avec des propositions singulières. »

Et malgré les difficultés, le programme reste riche et ambitieux, avec des spectacles pour tous les âges, des adaptations de classiques, des créations originales, du théâtre visuel et du théâtre engagé (lien vers la billetterie).

festival Vite au théâtre

Un festival qui embrasse toutes les formes du théâtre

Mardi 11 février : ouvrir grand les imaginaires

C’est « La mer veille », un spectacle jeune public dès 2 ans, qui ouvrira cette édition. « C’est un spectacle qui repose sur une esthétique très sensorielle. Il y a du son, de la lumière, des jeux de textures qui enveloppent le jeune spectateur et l’amènent dans un univers de douceur et de poésie. » La compagnie L’Intruse signe ici un spectacle qui met en avant les thématiques de l’écologie et de la transmission, sans jamais être didactique. Le spectacle de 10h étant déjà complet, une nouvelle représentation a été ajoutée à 11h15. Et ce sera potentiellement ainsi pour d’autres spectacles qui peuvent être doublés dans la programmation. « C’est pourquoi le public doit véritablement s’enregistrer sur les listes d’attente, explique Agnès Verlinde. S’il y a beaucoup de demandes, nous multiplierons tant que c’est possible les représentations. »

Cie Du Divan
Crédit : Cie Du Divan

Le soir, changement radical d’atmosphère avec La Petite Pièce en haut de l’escalier, par La Compagnie du Divan, un texte de Carole Fréchette qui revisite le mythe de Barbe Bleue. « Ce texte explore le désir et la transgression, il interroge ce que signifie vouloir savoir ce qui est interdit. On est à la frontière du conte et du thriller psychologique. Le suspense est permanent », nous dit la comédienne Céline Moreau. Cette séance du mardi soir est complète, mais il est possible de s’inscrire sur la liste d’attente ICI.

Mercredi 12 février : entre marionnettes et corps en mouvement

Le matin, la compagnie Dis Vague présentera Tiens Kad’ooohhh, un spectacle mêlant théâtre d’ombres et marionnettes. « C’est une proposition qui nous tenait à cœur, car elle introduit des esthétiques que l’on voit peu au festival. L’image y est aussi importante que le texte, et le théâtre d’ombres apporte une grande poésie visuelle », nous dit la présidente de l’association.

Le soir, c’est K, par la Compagnie des Cousus, qui prendra possession du plateau. « C’est une pièce très forte, qui raconte l’histoire d’une danseuse frappée par la maladie. Comment retrouver le mouvement quand le corps ne répond plus comme avant ? C’est un spectacle à la lisière du théâtre et de la danse, qui parle du rapport au corps, de la résilience. »

Jeudi 13 février : du témoignage historique au théâtre populaire

À 10h, Otto, biographie d’un ours en peluche, adaptation du livre de Tomi Ungerer, racontera l’histoire d’Otto, un ours en peluche qui traverse la Seconde Guerre mondiale, passant de main en main au gré des événements. « On est sur un spectacle d’une grande tendresse, mais qui permet aussi d’aborder l’histoire de façon sensible, par le prisme du jouet et de l’enfance. »

Otto
crédit photo : Michel Piedallu

Le soir, Une touche d’Acadie, par Compagnie BODOBODÓ, plongera le public dans une épopée méconnue, celle des Acadiens, ces francophones déportés en 1755. « Ce spectacle est une grande réussite. Il a été créé en France, mais il a ensuite été joué cet été au Canada, où il a eu un écho immense. Voir une troupe française s’approprier cette histoire et la restituer avec autant de justesse, ça a été un vrai choc pour le public local. »

Une_touche_d'acadie
crédit photo : FoM

Vendredi 14 février : théâtre et poésie

Le vendredi sera marqué par une proposition unique : Rattrapage, un seul-en-scène de Benjamin Kerautret où un professeur de littérature raconte son rapport à la poésie. « C’est un spectacle qui joue avec les mots, la musicalité du texte, avec une mise en scène simple et épurée qui laisse toute la place à l’interprétation. »

Samedi 15 février : entre mythes et tragédies

Le dernier jour du festival sera particulièrement intense. A 16h30 et 18h30, L’Odyssée d’Odessa, par la Ben Compagnie, revisite Homère dans une adaptation qui fait écho à l’actualité. « Le titre parle de lui-même. On a l’Odyssée, et on a Odessa, une ville sous les bombes. C’est un spectacle qui joue sur les résonances entre les mythes antiques et l’histoire contemporaine. »

Enfin, le festival se clôturera à 21h avec une adaptation, condensée en 1h20, de Macbeth, qui promet une relecture intense et percutante du chef-d’œuvre de Shakespeare. « On a voulu garder la force du texte original, mais en travaillant aussi sur une réécriture du rythme et du langage, explique Nathalie Kiniecik. Il fallait trouver de la liberté dans cette pièce monumentale sans la trahir. Au début, j’ai passé des mois à adapter, tailler, réorganiser, pour respecter l’esprit de Shakespeare tout en allégeant. J’avais parfois l’impression de jongler avec du marbre, tant ce texte est fort et intouchable. » L’enjeu de cette mise en scène repose sur une double dynamique : la tragédie et la tension psychologique, mais aussi l’humour subtil que Shakespeare dissémine dans ses œuvres. « Shakespeare savait alterner le tragique et le comique, et nous avons joué avec cette ambiguïté. Il y a du sang, du pouvoir, de la noirceur, mais il y a aussi des moments où le grotesque surgit, où le texte bascule dans une forme d’ironie. C’est un Macbeth haletant, un Macbeth nerveux, porté par une distribution engagée. »

La pièce sera portée par trois interprètes qui s’approprieront tous les rôles, un choix scénique audacieux qui renforce la tension dramatique et le rythme effréné de la narration. « Le travail sur les transitions entre les personnages a été un vrai défi. À un moment, je me suis demandé si je ne prenais pas un risque insensé… Mais c’est finalement cette contrainte qui a donné à la mise en scène son énergie propre. » La création s’est appuyée sur un travail sonore et musical puissant, à la croisée du théâtre et du cinéma. « Les ambiances sonores sont pensées pour envelopper le spectateur, le plonger dans une expérience immersive, sans jamais lui laisser de répit. On entre dans une spirale, et comme Macbeth, on n’en ressort pas indemne. […] À un moment, j’ai revu le Macbeth d’Orson Welles, et je me suis aperçue qu’il avait procédé comme moi : il avait pris des vers ici et là, recomposé des scènes. Là, j’ai compris qu’on pouvait, nous aussi, trouver notre propre voie sans être infidèles à Shakespeare ! »


Lectures, ateliers et moments de partage

En parallèle des spectacles, trois lectures sont proposées. L’une d’elles, gratuite, à la bibliothèque Abbé Grégoire, jeudi à 14h, interrogera comment parler des sujets difficiles aux jeunes spectateurs. « Il y a des sujets qu’on a longtemps évités dans le théâtre jeunesse. Mais aujourd’hui, on sait qu’on peut parler de tout, si on trouve la bonne forme », observe Nathalie Kiniecik. Six extraits seront présentés.

Le samedi 15 février, (rendez-vous Théâtre Nicolas Peskine), deux lectures de textes signés Laura Desprein sont programmées. À 16h30, Classicomania raconte avec humour les déboires d’Élise, 14 ans, confrontée à des parents qui ne parlent qu’en alexandrins, dans une comédie teintée d’absurde. « C’est un pur jeu sur la langue, un plaisir de texte qui vire à la comédie musicale et à la télé-réalité », détaille l’auteure. Une dizaine d’acteurs participeront. Puis, à 18h30, Coup de grâce explorera l’amour improbable entre deux êtres que tout semble opposer. Les deux représentations seront accessibles à partir de 2 €.

Le mercredi 12 et le samedi 15 février, de 15h à 16h30, des ateliers ludiques (participation libre à partir de 2 €) sont proposés pour explorer le plaisir de « jouer ». À travers des exercices mettant en valeur l’expressivité du corps et de la voix, chacun pourra s’initier ou approfondir sa pratique théâtrale, sans prérequis, dès l’âge de 6 ans. Le vendredi 14 février, de 18h à 20h, place à la lecture à voix haute. À partir de textes poétiques, classiques ou contemporains, cet atelier invite les participant.es à jouer avec les mots et à redécouvrir le plaisir de la lecture sous une forme originale. Cet atelier s’adresse aux personnes à partir de 16 ans. « C’est important que le public puisse passer de l’autre côté du plateau, expérimenter les choses », juge Agnès Verlinde.


Un festival sous tension budgétaire, mais déterminé à exister

Cette année, le festival a dû composer avec une baisse de subventions. « On a dû réduire le nombre de compagnies invitées, repenser certaines propositions. Mais on n’a pas touché à l’accessibilité : les tarifs restent très bas, et les séances jeune public sont maintenues », explique l’association.

Comme précisé, une solution a été trouvée pour maximiser la billetterie : doubler certaines séances si la demande est forte. « On a ouvert une deuxième représentation de La Mer veille, par exemple, parce que les réservations se sont remplies immédiatement. Si d’autres spectacles connaissent le même succès, on ajustera en conséquence. » L’objectif du festival reste de prouver qu’un tel événement est essentiel. « Faire venir des gens au théâtre, former des spectateurs, c’est un combat. Aujourd’hui, la culture est la première variable d’ajustement des budgets publics. Mais nous, on veut prouver que c’est nécessaire, fondamental. » Très vite, le rideau se lèvera sur cette édition 2025. Une chose est sûre : le théâtre vivra à Blois, envers et contre tout.


Le récapitulatif des spectacles

Mardi 11 février 2025

  1. La mer veille
    • Heure : 10h (complet) et 11h15
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 2 ans (durée : 30 minutes)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : Aussi vrai qu’un bateau qui tangue retourne toujours au port, ce spectacle nous démontre que les remous de la mer, tels les remous de la vie loin d’être effrayants peuvent être bien marrants ! On va vous parler ici d’écologie, de partage, de joie, d’imaginaire, de poésie, de rêverie, bref : tout ce qui fait le sel de la vie ! Ce spectacle est créé à partir d’albums jeunesse qui parlent de la mer de façon ludique et émouvante. De et avec Nathalie Kiniecik, par la Compagnie l’Intruse.
  2. La Petite Pièce en haut de l’escalier
    • Heure : 20h30 (complet)
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 14 ans (durée : 1h40)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT: Dans l’immense maison que lui a donné l’homme qui l’aime, Grâce peut aller à sa guise. Un seul lieu lui est interdit : la petite pièce en haut de l’escalier… Cet interdit l’aspire comme un vide. Entre rêve et réalité, elle plonge à corps perdu dans une quête d’elle-même. La Compagnie du Divan s’empare du texte de Carole Fréchette, inspiré du conte de Barbe bleue, pour nous offrir un conte contemporain mystérieux qui nous entraîne dans les méandres de la relation amoureuse et de l’âme humaine… De Carole Fréchette, mise en scène d’Emmanuel Faventines, avec Laurence Boisot, Christophe Faure, Claire Louis, Chantal Michaud et Céline Moreau de la Compagnie du Divan.

Mercredi 12 février 2025

  1. Tiens Kad’ooohhh
    • Heure : 10h
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 6 ans (durée : 50 minutes)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : C’est une mini épopée décoiffante à travers deux contes qui s’emmêlent, où se côtoient marionnette, théâtre d’ombres, bidouille et bricole. Deux histoires à tire-d’ailes qui trottent ventre à terre et bec au vent : celles d’un oiseau un peu tordu et d’une souris qui rêve trop haut. Ce spectacle doux et farouche raconte les différences qui nous séparent et nous rassemblent. Il invite à poursuivre son chemin, au-delà des brêches, pour se rapprocher toujours plus près de… de quoi ? de soi ? De et avec Mathilde Van Den Boom, sous l’œil complice de Ipek Thevenon par la compagnie Dis Vague.
  2. K
    • Heure : 20h30
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 10 ans (durée : 1h15)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : 4 artistes, 4 femmes mêlent leurs voix et leurs corps pour raconter une complicité ancienne, nouée autour de la danse. Une histoire tissée du parcours intime de chacune. Ce spectacle raconte le courage et la force de Katelle, danseuse, dont la maladie a coupé son corps de la scène. Elle y revient, aujourd’hui, pour apprivoiser les limites de ce corps et renouer avec cet espace qui a été sa vie durant des années. Le spectateur est invité à partager colère et tristesse, espoir et désillusions, à entrer dans leur danse et à célébrer, ensemble, ces liens indéfectibles qui se tissent au plateau, peu importe les aléas de la vie. De Javier Nosa Hernandez, avec Séverine Berthias, Dorothée Demaison, Elsa Foucher et Katelle Paulezec, par la Compagnie des Cousus.

Jeudi 13 février 2025

  1. Otto, biographie d’un ours en peluche
    • Heure : 10h
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 6 ans (durée : 35 minutes)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : L’histoire raconte, à travers le récit d’un nounours parlant à la première personne, la vie de Otto, depuis ses premiers souvenirs dans les années 1930, son amitié avec David, un petit garçon juif et Oskar, le copain-voisin, puis les circonstances tour à tour joyeuses et douloureuses qui vont jalonner leurs vies sur fond historique d’avant et d’après guerre jusqu’à leurs retrouvailles improbables. D’après Tomi Ungerer, mise en scène de Daniel Pinault, avec Fred Ferrand et Guillaume Schenck, par la Compagnie Titine errante.
  2. Une touche d’Acadie
    • Heure : 20h30
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 8 ans (durée : 1h15)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : Il est une Nation où se mêlent le froid, les combats, les contes… Faite de mer et de forêts, elle fut promise Terre de rêves : l’Acadie. Attirés par l’aubaine d’une vie nouvelle, les colons vinrent nombreux : de France puis très vite d’Angleterre. L’aventure prenait forme ! Les tensions entre pays aussi. 1755 sonna le glas des colons francophones. Ils furent déportés, l’Acadie décimée…Trois siècles plus tard : «Euj parlons toujours le français par là-bas !» (…) Par quel miracle ? Quelle résilience ? Quel écho avec aujourd’hui ? ! Au rythme du théâtre de tréteaux, BODOBODÓ embarque avec ardeur et interroge cette page humaine. De et avec Madeline Fouquet, avec Malo Brielles, Nicolas Campin, Rachel Kelly.

Vendredi 14 février 2025

  1. Rattrapage
    • Heure : 21h
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 12 ans (durée : 1h)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : Un homme entre, un cartable à la main, l’air déconfit, devant des élèves qui ne sont autres que le public. Il va débuter, à son grand regret, l’unique cours de rattrapage de littérature dont le sujet est : la poésie. Durant cette heure, il va se dévoiler, se transcender à travers les mots de nos plus belles plumes poétiques : Prévert, Ronsard, De Noailles, Verlaine, Rosemonde Gérard, La Fontaine, Rimbaud, Louise Labé et Hugo. Tour à tour survolté, passionné, tendre, coquin, désespéré, romanesque… ce professeur nous offrir sa jubilation des mots, son amour inconditionnel pour ces poètes·ses. Et nous montrer que la poésie nait de la vie ! Mise en scène de Damien Gouy, avec Benjamin Kerautret, par la Ben Compagnie.

Samedi 15 février 2025

  1. L’Odyssée d’Odessa
    • Heures : 16h30 et 18h30
    • Lieu : Maison des Provinces
    • Public : À partir de 7 ans (durée : 1h)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : Que diriez-vous de partir en voyage pendant une heure avec ceux qui ont façonné L’Iliade d’Homère ? Aimeriez-vous revivre l’incroyable histoire d’amour entre « la belle » Hélène et Paris ? Auriez-vous le courage d’Achille, Hector ou Ulysse ? Cette nouvelle création offre un souffle romanesque à ce chef d’œuvre de l’Antiquité et permet, dès le plus jeune âge, de connaître et comprendre, de façon ludique, cette œuvre fondatrice de notre civilisation. Mise en scène de Benjamin Kerautret, avec Caroline Guisset, par la Ben Compagnie.
  2. Macbeth
    • Heure : 21h
    • Lieu : Théâtre Nicolas Peskine
    • Public : À partir de 13 ans (durée : 1h20)
    • Tarif : De 6 à 12 €
    • Résumé donné par VAT : Nous allons vous conter : La pièce écossaise ! La pièce maudite dont personne n’ose proférer le nom ! La terrible, tragique et horrifique histoire de Macbeth ! Dans cette histoire, le clair est obscurité, l’obscurité claire. La splendeur immonde, l’immondice splendide. La justice pourrie, la pourriture juste. Un soir de victoire Macbeth et Banquo rencontrent trois étranges créatures qui vont leur révéler leur destin ! Faut-il ou non le suivre, quitte à sacrifier sa loyauté et se retrouver hanté par d’inexpiables fautes ? The fair is foul, the foul is fair ! Texte iconique à ne pas manquer ! D’après William Shakespeare, mise en scène, adaptation et écriture de Nathalie Kiniecik, regard extérieur de Nathalie Pellé, avec Loïc Chavigny, Nathalie Kiniecik et Mathilde Van Den Boom, par la Compagnie l’Intruse.

Comme le spectacle vivant, c’est de la convivialité, un espace restauration, géré par Julien Bignon (Popote Blois), sera disponible vendredi et samedi soirUn bar sera également ouvert avant et après les représentations pour favoriser les échanges entre spectateurs.

Informations pratiques

  • Billetterie : www.festivalvat.com
  • Contact : 07 56 80 32 75 ou asso.viteautheatre@gmail.com
  • Tarifs :
    • 12 € adulte pour le premier spectacle
    • 10 € adulte le 2e spectacle
    • 8 € adulte à partir du 3e spectacle
    • 6 € tarif réduit : moins de 18 ans, étudiant, minima sociaux, demandeur d’emploi.
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