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Zéro déchet : le combat de Jérémie Pichon pour un autre système

Jérémie Pichon se consacre à la préservation de l’environnement et à la réduction des déchets. Après avoir passé 18 ans au sein d’ONG et participé à des initiatives majeures telles que le Pacte écologique et le Grenelle de l’environnement, il opère en 2014 un véritable tournant dans son engagement.

Auteur du livre « Famille Zéro Déchet », avec Agglopolys, il donnera une conférence stand-up le vendredi 7 février 2025 à 20h à l’IUT de Blois, situé au 3 place Jean Jaurès.

Pour Blois Capitale, il revient sur les origines de sa prise de conscience autour du zéro déchet, née d’une réflexion et de nombreuses expériences de terrain. En s’appuyant sur l’exemple de l’association Mountain Riders, qu’il cofonde en 2001 pour ramasser les déchets sur les pistes de ski, Jérémie Pichon nous explique comment la question des déchets est devenue centrale dans son parcours.

Face à la surconsommation et à la pollution généralisée qu’il observe, notamment lors de missions en Afrique ou sur les plages de la Côte Basque avec Surfrider Foundation, il comprend que les déchets ne sont pas qu’un problème environnemental mais le symptôme d’un modèle économique extractiviste et productiviste.

Le déclic se produit en 2014, lorsqu’il réalise que malgré son engagement militant, sa propre famille produit une poubelle pleine chaque semaine. Cette prise de conscience l’amène à repenser entièrement ses habitudes de consommation et à se lancer dans l’aventure du zéro déchet. En vidant leur poubelle dans le jardin, lui et sa famille découvrent que celle-ci est principalement constituée de plastique et d’emballages agroalimentaires, reflet d’un système mondialisé dépendant de l’emballage.

À travers cette discussion, Jérémie Pichon partage avec nous son cheminement, ses découvertes, et l’importance de réduire les déchets pour repenser notre rapport à la consommation.

Le défi zéro déchet : trois ans de transformation radicale

Blois Capitale : Comment avez-vous amorcé ce virage vers le zéro déchet ?

Jérémie Pichon : En 2014, à l’époque, le concept de « zéro déchet » n’existait pas encore vraiment en France. On ne savait pas trop où on allait, on expérimentait. On a alors commencé à changer nos habitudes de consommation. La première année : on est passés d’une poubelle par semaine à une poubelle par mois. La deuxième année : on est passés à une poubelle tous les six mois. La troisième année : on est arrivés à un bocal d’un kilo de déchets pour quatre personnes sur une année entière.

On avait atteint les limites de ce qu’on pouvait faire, et on s’est rendu compte que notre transition ne concernait pas que les déchets. En fait, nous avions fait une transition écologique dans deux domaines majeurs : l’alimentation (qui génère énormément de déchets via les emballages) et la consommation d’objets et de vêtements. Le zéro déchet nous a amenés à une réflexion plus large sur notre manière de consommer. Et puis, comme on partageait notre expérience sur un blog, ça a pris de l’ampleur. Un éditeur nous a contactés pour écrire un livre et, progressivement, le mouvement zéro déchet est né en France. Entre 2014 et 2020, ça a été une véritable explosion du sujet, jusqu’à devenir un mouvement national, voire international. Aujourd’hui, le zéro déchet est partout et c’est une belle victoire.

Blois Capitale : Pourtant 250 kg de plastique arrivent chaque seconde dans l’océan. C’est bien cela ?

Jérémie Pichon : Oui, ce sont les estimations. On produit près de 450 millions de tonnes de plastique par an, et 3 à 4 % de cette production finit dans l’océan. Cela représente environ 14 à 15 millions de tonnes de déchets plastiques par an dans les océans. Pour donner une image, cela équivaut à un semi-remorque de plastique déversé dans l’océan toutes les 30 secondes. Et le problème, c’est qu’on ne freine pas la production. Aujourd’hui, avec la croissance industrielle et la demande en plastique, les prévisions montrent que la production pourrait doubler, voire tripler d’ici 2050. Si on continue sur cette lancée, d’ici 2040 ou 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan en volume. On est donc dans une dynamique de croissance incontrôlée, où chaque année, on augmente la pollution plastique, au lieu de la réduire.

Blois Capitale : Vous expliquez que notre consommation de ressources ne fait qu’augmenter. Vous donnez le chiffre de 50 tonnes de ressources consommées par an et par Européen.

Jérémie Pichon : Exactement. Aujourd’hui, le système économique est basé sur une croissance annuelle de 2 à 3 %. Ça peut paraître peu, mais si vous ajoutez 2 % chaque année, vous créez une exponentielle. En 25 ans, cela signifie qu’on double nos besoins en ressources, en énergie, en extraction de matières premières. C’est un mécanisme implacable : tous les 25 ans, on consomme deux fois plus que la génération précédente. C’est ce qu’on a observé depuis 1945 et l’accélération de la société de consommation. On nous vend aujourd’hui la transition énergétique comme une solution, notamment avec l’électrification des transports et les énergies renouvelables. Mais en réalité, on reste dans cette même logique d’extraction et de surconsommation. Produire une voiture électrique nécessite encore plus de ressources minières qu’une voiture thermique, notamment avec les batteries au lithium. Rien n’a fondamentalement changé. Le problème de fond, c’est qu’on continue à raisonner en croissance, alors que la seule véritable solution serait de réduire nos besoins. On parle souvent d’économie circulaire, et c’est une bonne chose, mais elle repose sur quatre grands principes : réduire, réutiliser, réparer et recycler. Or, aujourd’hui, on met tout en avant sauf le premier, qui est pourtant le plus important.

La première chose à faire, c’est réduire notre consommation. Ensuite, il faut réutiliser ce qui peut l’être, privilégier les objets durables et réparables, et enfin recycler ce qui ne peut plus être utilisé autrement. Mais aujourd’hui, on ne nous parle que de recyclage, comme si c’était une solution miracle. Le recyclage, c’est la dernière étape, pas la première. Recycler, c’est bien, mais ça ne suffit pas, car la majorité des matériaux ne sont pas recyclables à l’infini, et leur traitement demande aussi énormément d’énergie. Le plus gros mensonge du moment, c’est la « croissance verte ». On nous explique qu’on va pouvoir continuer à produire et consommer toujours plus, mais d’une manière « propre ». C’est une illusion. On reste dans le même système destructeur, en mettant simplement un vernis écologique dessus.

Blois Capitale : À travers votre démarche, vous montrez que réduire ses déchets ne se limite pas à un simple geste écologique, mais touche à tout un système de consommation.

Jérémie Pichon : Complètement. Le zéro déchet, au départ, c’était une réaction contre la surproduction d’emballages et de plastiques. Mais très vite, on s’est rendu compte que cette démarche touchait à beaucoup plus large. En réduisant nos déchets, on s’est mis à changer nos modes de consommation, à réinterroger nos besoins réels, à réduire nos achats, à privilégier la seconde main, la réparation, les circuits courts.

Ça nous a amenés à revoir toute notre alimentation, car l’industrie agroalimentaire est un des plus grands générateurs de déchets. On a décidé d’acheter directement chez des producteurs locaux, de privilégier le vrac, d’éviter les produits transformés. Ça a complètement transformé notre rapport à la nourriture, et on a vite constaté qu’en plus d’être meilleur pour l’environnement, c’était aussi meilleur pour notre santé. On a aussi appliqué cette réflexion aux objets du quotidien. Est-ce qu’on a vraiment besoin d’acheter tout ce qu’on nous pousse à consommer ? Est-ce qu’on ne peut pas réparer plutôt que jeter ? Est-ce qu’on ne peut pas partager plutôt que posséder ?

À force de faire ces choix, on a réalisé qu’on était en train de sortir du modèle de surconsommation et que ce modèle était extrêmement vertueux. En plus de réduire nos déchets, on a réduit nos dépenses, notre impact carbone et notre exposition aux produits chimiques. Et ce qui est intéressant, c’est qu’en étudiant notre mode de vie après cette transition, on a constaté des résultats concrets. Quand on passe à une alimentation locale et en circuit court, on divise par quatre notre empreinte carbone alimentaire. Si tout le monde faisait ça, l’impact serait énorme.

Le bien-être dans la sobriété

Blois Capitale : On comprend bien tous les bénéfices économiques, environnementaux et sanitaires du mode de vie zéro déchet. Mais est-ce que le message le plus difficile à faire passer, ce n’est pas justement que ce mode de vie rend plus heureux ?

Jérémie Pichon : On pourrait croire que réduire, consommer moins, c’est une contrainte, une privation. Mais en réalité, c’est tout l’inverse. D’abord, on retrouve du temps. Aujourd’hui, on est dans une société où on passe une grande partie de notre vie à travailler pour acheter des choses dont on n’a pas besoin. On travaille beaucoup trop et, paradoxalement, on nous demande de travailler encore plus longtemps. Si on change de perspective et qu’on réduit notre consommation, on peut aussi réduire notre besoin d’argent, donc notre besoin de travailler autant.

Ensuite, on gagne en qualité de vie. Manger local et de saison, c’est redécouvrir le vrai goût des aliments. Acheter en circuit court, c’est rencontrer les producteurs, recréer du lien social. Réparer plutôt que jeter, c’est retrouver le plaisir de faire durer les choses et de sortir du cycle de l’obsolescence programmée. C’est une logique totalement inverse à celle dans laquelle on nous enferme aujourd’hui, où tout est basé sur l’hyperconsommation. On est sans cesse exposés à des publicités qui nous poussent à acheter, on nous crée des besoins artificiels, on nous explique que le bonheur passe par l’accumulation d’objets.

Le mode de vie zéro déchet, c’est une simplification de notre quotidien, une redéfinition de ce qui est vraiment essentiel. Et c’est une libération. On ne dépend plus de la dernière nouveauté à la mode, on ne ressent plus le besoin de toujours acheter plus. Et ça, au final, c’est ce qui rend vraiment heureux.

Un modèle de société à réinventer

Blois Capitale : Votre message, au fond, va bien au-delà de la question des déchets. Vous proposez un vrai changement de société.

Jérémie Pichon : On ne parle pas simplement d’un geste écologique individuel, on parle d’un changement profond de notre modèle de société. Le problème, c’est qu’on est dans un système qui ne veut pas changer. Il est construit pour favoriser l’hyperconsommation et la croissance perpétuelle. Et ceux qui en bénéficient – les grandes entreprises, les ultra-riches – n’ont aucun intérêt à voir ce modèle évoluer. Mais heureusement, il y a des choses qu’on peut faire, individuellement et collectivement. On peut changer nos habitudes, refuser cette logique d’hyperconsommation. Et plus on sera nombreux, plus on aura de poids pour imposer un autre modèle. Le zéro déchet, c’est une porte d’entrée vers ce changement, mais c’est aussi un combat plus global. Et ce combat, il est essentiel, parce que l’avenir qu’on nous prépare, si on ne change rien, c’est le chaos.

CREDIT PHOTO : Laure B

Blois Capitale : Dans vos conférences, vous cherchez avant tout à provoquer une prise de conscience et à inciter à l’action.

Jérémie Pichon : Oui, c’est vraiment l’objectif principal. Je veux que les gens, en sortant de ces deux heures de rencontre, aient envie de passer à l’action. L’idée, c’est de les motiver, de les booster, et ça marche plutôt bien. Ce qui fonctionne, c’est le mélange d’émotions et d’énergie que je mets dans mes interventions. Je joue sur l’indignation, la colère, mais aussi sur l’humour. On rigole, on se rend compte que ce mode de vie est possible, accessible à tout le monde. Au final, il suffit de décider. Mon but, c’est de créer des colibris, des gens qui, après la conférence, se disent : « OK, j’agis ».

Blois Capitale : Est-ce qu’il y a des domaines où c’est totalement impossible de réduire ?

Jérémie Pichon : Il y a des limites incontournables. Les médicaments, par exemple, sont un véritable problème. Il n’existe pas de pharmacies en vrac. Chaque boîte contient une plaquette en aluminium et plastique, et ces matériaux sont indissociables, donc non recyclables. On jette donc énormément, et il y a aussi beaucoup de gaspillage avec des boîtes contenant plus de médicaments que nécessaire. C’est une logique commerciale : vendre des boîtes de 32 au lieu de 15, ça rapporte plus. Et vu le poids des lobbies pharmaceutiques et pétrochimiques, il n’y a aujourd’hui aucune alternative. La seule chose que l’on peut faire, c’est essayer de consommer moins de médicaments, mais pour ceux qui ont des traitements de fond, c’est évidemment impossible.

Il y a aussi la voiture, surtout en milieu rural. En ville, il est tout à fait possible de vivre sans voiture. Il y a les transports en commun, le vélo, la trottinette, et surtout, on fait des économies énormes en se passant de voiture. Mais en campagne, ce n’est pas du tout la même réalité. La voiture y est indispensable pour aller travailler, faire des courses, se socialiser. On pourrait imaginer des solutions collectives, mutualisées, mais aujourd’hui, on est encore très loin de cela. Le numérique pose aussi un vrai problème, même si là, il existe des solutions. Aujourd’hui, un smartphone a une durée de vie de deux ans, mais ce n’est pas une contrainte technique, c’est culturel. 80 % des smartphones remplacés fonctionnent encore. Les gens changent simplement parce qu’on leur vend le dernier modèle à la mode. Ce qu’il faudrait, c’est allonger la durée de vie des appareils. Un smartphone pourrait durer dix ou quinze ans s’il était conçu pour être réparable et évolutif. Il y a déjà des initiatives comme Fairphone, qui proposent ce type de modèle. Il faudrait aussi réduire le streaming, qui consomme d’énormes ressources en bande passante et en stockage de données. Et avec l’arrivée de l’intelligence artificielle, ça va être pire encore, car ces technologies nécessitent une consommation énergétique colossale.

Enfin, il y a des domaines où c’est plus compliqué, comme les chaussures de sport. Difficile d’acheter des chaussures de running d’occasion ou de les réparer. Pour le néoprène, qui est une horreur en termes de plastique, il est au moins possible de réparer ses combinaisons et de les faire durer vingt ans. C’est pareil pour les planches de surf. Il vaut mieux en avoir une seule et la partager ou la louer, plutôt que d’accumuler du matériel.

L’une des solutions les plus simples, c’est d’acheter moins. Consommer moins, c’est économiser de l’argent. Et au final, ce n’est pas consommer qui nous rend heureux, c’est vivre des expériences et partager des moments.

Blois Capitale : D’ailleurs, dans votre famille, vous avez aussi changé votre approche des cadeaux et des fêtes.

Jérémie Pichon : Oui, complètement. Pendant longtemps, on a suivi la tradition : acheter plein de jouets en plastique pour Noël et les anniversaires. Mais quand on prend du recul, on se rend compte que les enfants en reçoivent trop, et que beaucoup de ces objets finissent rapidement à la poubelle. En 2014, on a décidé d’essayer autre chose. On a annoncé aux enfants que, cette année-là, il n’y aurait pas de cadeaux matériels, mais une expérience à vivre ensemble. On s’est offert un week-end en cabane perchée à 30 mètres de haut. On en parle encore aujourd’hui, parce que c’était un moment magique. Depuis, on a gardé cette habitude. Plutôt que d’acheter des objets qui seront vite oubliés, on privilégie des cadeaux à vivre. Et ça marche. Ce qui reste, ce ne sont pas les objets, mais les souvenirs et les émotions.


L’incompréhension face au rejet du message écologique

Blois Capitale : Malgré toutes ces solutions concrètes et bénéfiques, le message de sobriété passe mal. Pourquoi est-ce si difficile de faire évoluer les mentalités ?

Jérémie Pichon : Parce que tout est fait pour que l’on consomme toujours plus. Les gens sont constamment sollicités par la publicité, que ce soit à la télévision, sur internet, dans la rue. On nous pousse à croire que le bonheur passe par l’accumulation d’objets, une voiture plus grosse, des voyages plus loin avec EasyJet, et toujours plus de gadgets achetés chez Action. Et les médias ne nous aident pas. Plutôt que de donner de la visibilité aux messages de sobriété, ils les caricaturent. Résultat : au lieu d’être perçue comme une démarche intelligente et vertueuse, la réduction de consommation est vue comme une contrainte. Pourtant, c’est tout l’inverse : ça permet de vivre mieux, d’avoir plus de temps, de faire des économies, d’améliorer sa santé. Mais ce discours est quasiment absent des grands médias.

Blois Capitale : Depuis quelques années, l’écologie semble de moins en moins présente dans le débat public. Avez-vous ce sentiment ?

Jérémie Pichon : Totalement. Depuis 2020, on a progressivement invisibilisé la question écologique. Avant, j’étais invité toutes les deux semaines sur des plateaux télé ou des radios. Aujourd’hui, plus rien. Ce n’est pas un hasard. On observe même une régression. Désormais, l’écologie est caricaturée. On nous traite d’« éco-terroristes », alors qu’avant, c’était juste des insultes du type « Amish » ou « retour à la bougie ». Mais aujourd’hui, on ne se contente plus d’attaquer les militants, on attaque directement les structures qui soutiennent la transition écologique. Cette année, on parle de supprimer l’Agence Bio, qui soutient pourtant 18 % des exploitations agricoles françaises. On remet en question l’ADEME et l’Office Français de la Biodiversité (OFB). Tout ce qui est un frein au modèle économique actuel est ciblé et attaqué. En 25 ans d’engagement, je n’ai jamais vu une telle régression. On recule à une vitesse folle. Et pendant ce temps, les problèmes environnementaux s’aggravent.

Blois Capitale : Vous avez une formation d’historien. À votre avis, comment les sociétés évoluent-elles face à de telles crises ?

Jérémie Pichon : Historiquement, les sociétés ont changé de quatre manières : par les guerres, les effondrements d’États, les pandémies ou les révolutions populaires. Aujourd’hui, il faudrait une transition choisie et concertée. Malheureusement, on n’y est pas. Mais si nous ne faisons rien, ce sont ces autres forces – la guerre, l’effondrement, la crise – qui imposeront le changement. J’espère que nous arriverons à enclencher un changement positif et collectif, plutôt que de subir le chaos.

Famille zéro déchet
Crédit photo Youtube Thierry Souccar Editions

Visite du centre de tri des déchets de Parçay-Meslay

Agglopolys, l’agglomération de Blois, organise une visite gratuite du centre de tri interdépartemental de Parçay-Meslay le mercredi 26 février 2025.

📍 Déroulé de la visite :

  • Durée : 2 heures
  • Transport en bus gratuit (sur inscription)
  • Départ : 12h40 depuis le parking P4 du Jeu de Paume (66 avenue de Châteaudun, Blois)
  • Retour : 17h30
  • Public : ouvert à toutes et tous

🔹 Informations et inscription :
L’inscription est obligatoire avant le 10 février à l’adresse suivante : info.dechets@agglopolys.fr.

🔄 Pourquoi visiter le centre de tri ?
Le centre de tri de Parçay-Meslay traite les déchets recyclables de 13 collectivités, dont Agglopolys. Les déchets y sont triés par matériau avant d’être envoyés vers les filières de recyclage adaptées. Cette visite permet de mieux comprendre le processus de tri et l’importance du recyclage dans la gestion des déchets.


l'amour qui s'éprouve

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