« Eros », thème de la nouvelle exposition à la Galerie d’art Wilson

Eros, dans la mythologie grecque, est une figure complexe et diversifiée. Considéré comme la divinité primordiale de l’amour et de la puissance créatrice, Eros est souvent représenté comme un jeune dieu de l’amour. Ses origines varient selon les récits. Eros est notamment célèbre pour ses interventions dans divers mythes grecs, influençant les affaires de cœur de dieux et de mortels. Parmi ses histoires les plus connues, on trouve celle de Psyché, une mortelle dont il tombe amoureux, et qui devient finalement immortelle pour vivre éternellement avec lui. D’autres mythes incluent celui de Pygmalion, un sculpteur qui tombe amoureux de sa propre statue, et celui d’Apollon et Daphné, où Eros utilise ses flèches pour influencer leurs sentiments.
En plus de ses aventures amoureuses, Eros est aussi associé à la naissance de l’univers et à la création dans certains récits. Dans la théogonie orphique, il est à l’origine de la création, naissant d’un œuf cosmique issu du Chaos. Voilà de quoi inspirer tout artiste.
Quatre exposeront en février 2024 sur ce thème d’Eros à la Galerie d’art Wilson, du 1er au 24. Il s’agît de la plasticienne Véronique Sarda, de la peintre Marie-Pascale Martins, du sculpteur Tahir Gavrilovic et le photographe-plasticien Michel Bizieux. Le vernissage aura lieu le jeudi 1er février à partir de 18h. Et comme expliqué sur l’affiche, des contenus de ces œuvres peuvent être explicites.

Trente-sept artistes supplémentaires de la galerie Wilson – dont douze qui exposent pour la première fois – exposeront leurs œuvres dans les espaces situés à l’arrière de la galerie. Leurs créations pourront être en rapport ou non avec le thème d’Eros. La galerie sera ouverte du mercredi au vendredi de 14h à 19h, et le samedi de 10h à 19h. L’exposition est accessible à tous, avec une entrée libre et gratuite. La galerie est adaptée aux personnes à motricité réduite, garantissant ainsi un accès universel à l’art.