Pour connaître en une petite minute l’essentiel de l’actualité locale nous vous proposons ce condensé d’informations. Que s’est-il passé à Blois et ses alentours ?
Les concurrents de l’ADA Blois se rapprochent
Le classement de l’Élite est désormais à jour. Les matches en retard ont été disputés dimanche et les résultats n’ont pas été favorables à l’ADA Blois. En effet, les deux derniers du championnat, Pau-Lacq-Orthez et Fos-sur-Mer, se sont imposés face à Bourg-en-Bresse et Strasbourg. Les Palois reviennent ainsi au niveau de Nancy à la 16e place. Juste derrière Blois. La lutte de bas de tableau pour le maintien est intense. Le 17e et le 18e descendront. Mardi, l’ADA jouera à Limoges (11e), puis samedi à Nanterre (14e). La semaine s’annonce donc importante.
Le tribunal penche pour une emprise
Dans l’actualité locale, la Nouvelle République rapporte la condamnation par le Tribunal correctionnel de Blois d’un mari pour violences malgré la rétractation de sa femme durant l’audience. Une peine de six mois assortie du sursis probatoire. Les faits : le 20 janvier 2023, en Suède, une mère appelle la police pour signaler que sa fille, qui vit en France, « vient de la contacter en pleurs et serait victime de violences de la part de son mari. » Interpol se charge de l’affaire et contacte le commissariat de Vendôme, ville où réside le couple. « Sur place, les policiers trouvent l’épouse terrorisée. Elle explique que son mari lui a porté plusieurs coups et l’a menacée de mort », lit-on dans le journal. Une violence confirmée par l’expertise, et sept jours d’incapacité totale de travail (ITT). Mais l’affaire devient plus complexe.
L’épouse, qui voulait avoir la preuve de l’infidélité de son époux (âgé de 37 ans), l’a piégé avec réussite via un faux compte sur les réseaux. Suite à la révélation, la situation s’est tendue et a connu son climax – après quelques jours de dispute – dans la cuisine avec des cris et une rixe alors qu’enfants et parents du mari étaient sous le même toit, en plein sommeil. Que s’est-il passé ? « L’une des filles du couple explique s’être précipitée dans la cuisine où elle a trouvé sa mère à terre, en pleurs, et son père en rage », apprend-t-on. À la barre du tribunal, le mari a réfuté l’agression et a parlé de complot de sa belle-famille. Une version soutenue… par sa propre épouse… Celle-ci expliquant s’être faite repoussée alors qu’elle voulait le gifler, d’où la mauvaise chute. Soupçonnée d’être sous l’emprise de son mari et de sa belle famille avec cette explication, le tribunal a fait le choix de la condamnation.
